Ibuprofen

Publié le par Manu Manu

Un membre à part ; une autre idée ; à part un membre,
D'autre part ; vu ailleurs. Une autres idées des Mondes
Vu d' ailleurs, quelques fois, à l' Aube et cependant
Accessibles. Ils tremblaient de toutes parts si
Ce n'est leurs peurs, ce furent les notres. Et d'y voir un
Peu de nos âmes enchâssées, pucelles de
Leurs yeux. De leurs Dieux elles ne savent que faire.
Façon Biblique. La Torah des Malpropres.
Les Sourates de la Honte. Le Malade agit.
Là où l'alcool tue les peines. Au creux de ces coeurs
Qui ne cessent de battrent à mes oreilles.

Publié dans Post Meridium

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P
Lue, la réponse à mon commentaire. Le fait de ne pas retoucher les textes me plaît. Pour revenir à mon écriture fautive (et faire le lien avec les fautes de frappe et l'impro) voir ou lire ma nouvelle série IMPROVISATION sur le blog http://meteores2.hautetfort.com . Mon travail d'écriture fautive est pratique essentiellement: je peux théoriser à son propos également, mais ne sachant pas ce qui l'a déclenché (la théorie ou la pratique - j'ai en réalité une petite idée) je m'abstiens de trop m'étendre sur la question, préférant avancer dans "l'expérimentation". Poétiquement. Ph L.
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M
<br /> Et puis quel titre poétique pour ce final, quelle belle devanture ! Voilà qui devrait donner envie au passant de s' attarder un peu plus dans ma Boutique ...<br /> <br /> <br />
P
Dites-moi, à propos de ce pasage d'IBUPROFEN (beau titre au demeurant - "au demeurant" je trouve l'expression idiote): "Une autres idées des Mondes Vu d' aileurs", qui semble faire appel ou écho à ce que j'ai pu appeler (pour mon travail) l'écriture fautive, et que je continue d'exploiter - voir les dernières IMPROVISATIONS sur mon blog - dites-moi, disais-je donc: puisqu'il ne peut s'agir d'erreurs involontaires, est-ce une pratique coïncidente de votre part, ou mon approche a-t-elle commencé à germer? Quelle que soit le réponse (même d'ailleurs si ça n'est pas volontaire) elle m'intéresse. Bien à vous. Ph L.
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M
<br /> Faute de frappe. La plupart des textes ici présents sont créés en direct, impro, faute de frappe, de français, de grammaire ou d'orthographe, il est très rare que je retouche un texte une fois<br /> publié. mais là, tiens, je vais modifier.<br /> <br /> <br />
P
: regrETTer !!!
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P
Cher M. Manu, voilà bien longtemps que je n'ai pas déposé un commentaire. Apparemment, je ne suis pas le seul! Mon espace (bien que visité au regard des stats) reste lui aussi peu commenté. Il y a du passage, mais peu "osent" se manifester. Celà tient à notre écriture, il n'en faut pas douter. Il ne faut pas non plus le regrêter. Sachez que la parution de chacun de vos nouveaux billets m'est signalée par mail. Je continue donc de vous lire. Toujours avec le même plaisir. Ne perdons pas courage (ou espoir). Répétons-nous à mi-voix: « Il n'existe pas deux genres de poésies; il n'en est qu'une. »Isidore Ducasse – Poésies 1
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M
<br /> Mr Leteissier,<br /> <br /> Ce cher Isidore écrivait ceci il y deux siècles. Et je l'en remercie.<br /> En ce qui concerne votre abonnement à la newsletter du Malade et au signalement des parutions, sachez que vous êtes le seul à en bénéficier. Considérez ceci comme un privilège, bien entendu. Notez<br /> aussi, qu'en aucun moment je ne perds espoir ou courage, relisez donc un précédent article où je signifiais clairement que bientôt la France entière aurait lu mes oeuvres !<br /> <br /> Salutations malades<br /> <br /> <br />